
Les objets exposés au musée du Luxembourg révèlent non seulement la virtuosité et la modernité du bijoutier, mais également ses inspirations du Moyen Age fantastique, son intérêt pour le Japon mais aussi les découvertes nombreuses du début du XXè siècle dans les domaines de la botanique et la zoologie. Visiter Lalique, c'est explorer l'art nouveau, c'est aussi croiser la haute société lettré de l'époque, Gustave Moreau, Sarah Bernhardt, Edmond Rostand.

Lalique, c'est aussi à la fin de sa vie les prémices de l'art déco, et le désir d'appliquer les fruits de la recherche esthétique aux objets de consommation "de masse", ou industriels. Flacons de parfums, bouteilles, coffrets, rien n'échappe à la boulime créative et à sa volonté de faire du bijou un "art total", à tous les sens du terme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire